8 novembre 2021 |16h00 - 18h00
... Cette seconde session recevra Anne-Cécile Mermet avec une intervention sur le web scrapping pour saisir les dessous des sociabilités touristiques entre hôtes Airbnb et touristes à Reykjavik, et Salomé Vincent, doctorante du laboratoire, porteuse d’une thèse intitulée « Déconstruire l’obscurité, nuit noire à Nantes ».
...
Les liens directs sont de plus en plus restreints au profit de liens virtuels, reposant sur l’espace numérique (réseaux sociaux) et entraînant une dématérialisation des relations. Parallèlement, de nouveaux liens et de nouvelles relations s’établissent dans le cadre de la gestion de la pandémie (dépistage, traçage, vaccination) créant un profond trouble au sein des sociétés.
Fort de ce contexte, ce séminaire vise à partager des interrogations autour des notions d’espace, de lieux et des relations sociales à travers trois axes de questionnement :.
- Quelles sont les transformations des circulations et des mobilités ?
- Comment repenser le rapport aux ressources, autour de quelles pratiques et selon quelles échelles de valeur ?
- Comment se redéfinissent les identités et autour de quelles sociabilités ?
Par ailleurs, les fluctuations nombreuses entre levée des restrictions et imposition de nouvelles règles collectives génèrent des temporalités et des spatialités divergentes parfois au sein d’un même territoire posant la question des agencements des pratiques et des arrangements des individus avec le cadre légal.
Par conséquent, comment aborder des dynamiques potentiellement nouvelles, fragmentées et séquencées ? Quels ajustements sont nécessaires selon les objets de recherche ?
Quels questions et objets, ont été révélés par la crise Covid-19, sont transformés, sublimés ou au contraire marginalisés ?
Il s’agira ici d’ouvrir un espace de discussion permettant de partager des interrogations et des modalités méthodologiques.
...
Ndlr : /dématérialisation et pas "en ligne" : erreur pathétique car l'internet est tout sauf dématérialisé :-(
Dénoncer ACT
« Je n’ai jamais vu une situation pareille en 24 ans de barreau »
Quand Pascal, agent technique chez Total demande le paiement de ses heures sup’, il est mis à la porte. Il conteste son licenciement aux prud’hommes où il est débouté par un ancien cadre… de Total élu aux prud’hommes.
...
En appel, les magistrats vont donner entièrement raison à Pascal. La cour juge en 2022 son licenciement sans cause réelle et sérieuse. L’entreprise est condamnée à lui verser 51.000 euros de dommages et intérêts à ce titre, 4.000 euros au titre du non-respect des durées maximales de travail et minimales de repos, 8.000 euros au titre de l’obligation de loyauté et 3.600 euros au titre du remboursement de ses frais de justice.
Pascal, contacté par l’intermédiaire de son avocat Pierre Santi, a indiqué avoir « tourné la page et ne [plus souhaiter] revenir sur cette affaire ».
...
8,7 k abonnés - 10k+ - 329 187 vues - 1 053 commentaires #ClimateTheMovie
Ce film expose l’alarme climatique comme une frayeur inventée sans aucun fondement scientifique. Cela montre que les études traditionnelles et les données officielles ne soutiennent pas l’affirmation selon laquelle nous assistons à une augmentation des événements météorologiques extrêmes – ouragans, sécheresses, vagues de chaleur, incendies de forêt et tout le reste. Cela contredit catégoriquement l’affirmation selon laquelle les températures et les niveaux actuels de CO₂ atmosphérique sont inhabituels ou inquiétants. Au contraire, par rapport au dernier demi-milliard d’années de l’histoire terrestre, les températures actuelles et les niveaux de CO₂ sont extrêmement et inhabituellement bas. Nous sommes actuellement dans une période glaciaire. Cela montre également qu’il n’existe aucune preuve que l’évolution des niveaux de CO₂ (ils ont changé à plusieurs reprises) a jamais « entraîné » le changement climatique dans le passé.
Pourquoi alors nous répète-t-on, sans cesse, que le « changement climatique catastrophique provoqué par l’homme » est un fait irréfutable ? Pourquoi nous dit-on qu’il n’y a aucune preuve qui le contredit ? Pourquoi dit-on, que quiconque, qui remet en question le « chaos climatique » est un « platiste » et un « négationniste de la science » ?
Le film explore la nature du consensus derrière le changement climatique. Il décrit les origines du mouvement de financement climatique et la montée en puissance d’une l’industrie climatique, pesant des billions de dollars. Il décrit les centaines de milliers d’emplois qui dépendent de la crise climatique. Cela explique l’énorme pression exercée sur les scientifiques et autres pour qu’ils ne remettent pas en question l’alarme climatique : retrait des fonds, rejet par les revues scientifiques, ostracisme social.
Mais l’alarme climatique est bien plus qu’un mouvement de financement et d’emploi. Le film explore la politique du climat. Dès le début, la peur climatique était politique. Le coupable était le capitalisme industriel de libre marché. La solution était des impôts plus élevés et davantage de réglementation. Dès le début, l’alarme climatique a séduit, et a été adoptée et promue par, les groupes favorables à un gouvernement plus important.
C’est une division politique tacite qui se cache derrière l’alarme climatique. La peur du climat séduit particulièrement tous les membres de l’establishment tentaculaire financé par l’État. Cela inclut l’intelligentsia occidentale largement financée par l’État, pour qui le climat est devenu une cause morale. Dans ces cercles, critiquer ou remettre en question l’alarme climatique est devenu une violation d’étiquette sociale.
Le film comprend des entretiens avec un certain nombre de scientifiques de renom, dont le professeur Steven Koonin (auteur de « Unsettled », ancien doyen et vice-président de Caltech), le professeur Dick Lindzen (ancien professeur de météorologie à Harvard et au MIT), le professeur Will Happer (professeur de physique à Princeton), Dr John Clauser (lauréat du prix Nobel de physique en 2022), professeur Nir Shaviv (Institut de physique de Racah), professeur Ross McKitrick (Université de Guelph), Dr Willie Soon et plusieurs autres.
Le film a été écrit et réalisé par le cinéaste britannique Martin Durkin, et est la suite de son excellent documentaire de 2007 « The Great Global Warming Swindle. » Tom Nelson, un podcasteur qui examine en profondeur les questions du débat climatique, depuis près de deux décennies, a produit le film.
#ClimateTheMovie sera disponible gratuitement sur de nombreux sites en ligne à partir du 21 mars 2024. Des sous-titres dans de nombreuses langues sont actuellement créés par la Fondation Clintel. Suivez @ClimateTheMovie et @ClintelOrg pour les mises à jour.
Ndlr : aucun climatologue pour étudier le climat ? ESCROQUERIE
6:40 terminer ACT
1,02 M d’abonnés - 7,7k+ - 147 563 vues - 1 508 commentaires - #Antisémitisme #SciencesPo #Palestine
Le 12 mars, des étudiants de Sciences Po ont occupé un amphithéâtre pour y organiser des conférences dans le cadre de la"Journée de mobilisation européenne pour la Palestine".
Le soir-même et sur son compte Twitter, l'UEJF a déclaré que des étudiants y avaient été "pris à partie parce que juifs et sionistes".
Sans vérifier auprès des organisateurs, le président de la République, la ministre en charge de la lutte contre les discriminations et plusieurs médias ont relayé l'information.
L'emballement du gouvernement dans la condamnation sans preuves de l'exclusion d'une étudiante lors d'un rassemblement à Sciences Po, continue d'entretenir un récit où la défense des Palestiniens ne se fonderait que sur des idées antisémites.
Le Premier ministre Gabriel Attal a annoncé mercredi 14 mars que le gouvernement allait saisir la justice "pour contribuer à l'enquête et à la mobilisation des services afin de déterminer ce qu'il s'est passé" sur le campus de Sciences Po Paris.
Cette action leur permettra peut-être de faire la lumière sur les faits de discrimination rapportés depuis plusieurs années par de nombreux étudiants.
Blast était sur place ce jour-là et s'est procuré des documents exclusifs qui mettent à mal la version du gouvernement.
Journaliste : Ibrahim Benaissa
...
La recyclerie, selon son activité, peut être classée sous les rubriques déchets 2710, 2711, 2716 et dans certains cas 2790
...
aider à la réalisation de projets (tels que le montage d’une recyclerie sur un territoire) ;
...
Recyclerie vs Ressourcerie® ?
Le terme “Ressourcerie” est une marque déposée et ne peut pas être utilisé, sauf pour désigner le réseau de la marque. Le terme “Recyclerie” est à employer de façon générique. Bien qu’anciennement déposé il a été laissé dans le domaine public.
La recyclerie est un centre qui a pour vocation de récupérer, valoriser et/ou réparer, en vue de la revente soit des biens ayant été donnés en vue du réemploi et possédant le statut de produits, soit des produits ayant le statut de déchets (cf Chapitre 02 – Point sur la terminologie). Les produits et
déchets peuvent être contrôlés, nettoyés et réparés. Dans le cas des déchets, ces opérations, appelées « préparation à la réutilisation », leur permettront de retrouver leur statut de produits.
...
Ndlr : il est fort curieux qu'il n'est pas fait allusion à la déconstruction d'objets, à la récupération de matières ou de sous-ensembles ou de pièces détachées. Vérifier et dénoncer ACT
Privatisation du fret SNCF : « On fait tout pour couler le ferroviaire »
Syndicats de cheminots et associations écologistes ont manifesté en Normandie contre le démantèlement programmé de la filiale de la SNCF dédiée aux marchandises. Sotteville-lès-Rouen (Seine-Maritime) Ils ont du mal à se faire entendre, alors ils redoublent d’énergie. Sous une pluie battante, balayé par un vent facétieux, un cortège d’environ 400 cheminots et leurs soutiens s’élance en rangs serrés en bordure des voies ferrées, mardi 21 novembre à Sotteville-lès-Rouen, en Normandie. L’ancienne gare de triage (...)
Connu / TG le 29/11/23 à 20:44
Connu / TG le 22/11/23 à 10:53
Reporterre révèle qu’un cas de falsification constaté par l’Autorité de sûreté nucléaire concerne un fournisseur du chantier de l’EPR de Flamanville. Caractérisé de « crime ou délit ...
Connu / TG le 16/02/24 à 21:25
Embouteillée dans les Deux-Sèvres, elle est distribuée par les magasins Intermarché. L’agence régionale de santé a identifié ...
Connu / TG le 16/02/24 à 11:13
publié le 23/05/2022 à 10h42 | mis à jour le 06/06/2023 à 12h52 | par Caroline Dusanter
...
selon Carbone 4, « l’empreinte carbone du GNL est 2,5 fois plus élevée que celle du gaz acheminé par gazoduc
...
s’il vient des États-Unis, ce sera parfois du gaz de schiste. Or, ce dernier a une empreinte environnementale plus forte. En effet, son exploitation laisse énormément de méthane (la composante principale du gaz naturel) s’échapper dans l’atmosphère. Selon Robert Howarth, biogéochimiste à l’université Cornell, « on estime qu’entre 3,6 et 7,9 % du gaz extrait sur toute la durée de production des sites de gaz de schiste s’échappent. » Or, le méthane a un pouvoir de réchauffement global 28 fois supérieur à celui du CO2. L’exploitation du gaz de schiste présente donc un bilan carbone important.
...
deux étapes de transformation. Il faut :
- Débarrasser le gaz de ses impuretés.
- Refroidir à -160 °C (à pression atmosphérique) pour en obtenir la liquéfaction. Ce refroidissement du gaz est obtenu par une succession de cycles frigorifiques complexes qui requièrent beaucoup d’énergie.
...
engendre également une forte libération de méthane dans l’air. Or, comme le souligne le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), quand ce gaz à effet de serre est rejeté directement dans l’atmosphère, « il est plus de 80 fois plus puissant que le dioxyde de carbone (CO2) sur une période de 20 ans. »
...
la liquéfaction du gaz naturel permet de diviser son volume par 650
...
processus complexe et énergivore. Une usine de liquéfaction va consommer entre 8 et 10 % du gaz qu’elle reçoit pour son propre fonctionnement
...
En conclusion, le recours au GNL est pour le moment la principale alternative pour se libérer de l’indépendance à la Russie, et répondre à la future demande de l’hiver prochain. Il ne peut cependant pas représenter une solution sur le long terme.
En effet, comme le souligne Ines Bouacida, chercheuse énergie climat pour l’Institut du développement durable et des relations internationales (IDDRI) : « Il ne faut pas que ça nous dévie de notre trajectoire et des vraies solutions de long terme, à savoir la réduction de la demande énergétique et le déploiement d’énergies vertes comme les énergies renouvelables. »
Christophe Cassou @cassouman40 · 1h
"On est en plein ère de la post-vérité ou les mots soient ne veulent +rien dire soit, pire encore, veulent dire ajd le contraire ce qu'ils voulaient dire a l'origine"
Vrai sur bcp de dossiers...dont #A69, ce qui rend impossible les espaces de dialogue partagé avec objectivité
Citation
Clément Viktorovitch @clemovitch · 21h
« Le ministre de l'agriculture nous explique donc que, en fait, la souveraineté alimentaire... ça veut dire exporter davantage, et favoriser le libre échange ! »
Le macronisme triture le sens des mots : épisode 357, avec Marc Fesneau.
Tr.: ... concept de l'altermondialisme ... le langage est trituré, dépatouillé, DÉVOYÉ ... SUVBERTI ... impossible de savoir de QUOI ILS PARLENT ... pb de responsabilité ...
375 signatures - 93 commentaires
Auteur(s) : Fermeture de l'office du tourisme de Villebois Lavalette
Destinataire(s) : CDC Lavalette Tude Dronne et Direction des offices de tourisme du sud charente
...
Les économies sont encore un bon prétexte pour fermer un service public indispensable dans un secteur qui essaie de développer son activité touristique.
...
Durée de lecture : 8 minutes - Agriculture Luttes Politique
Alors que les agriculteurs multiplient les actions destructrices, l’impunité totale dont jouit la FNSEA tranche avec la brutalité de la répression contre les écologistes, les quartiers populaires ou les Gilets jaunes.
On connaissait le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, martial et autoritaire, gonflant les muscles à chaque mouvement social. On l’a découvert jeudi 25 janvier sur TF1 empathique et laxiste devant la mobilisation des agriculteurs. « On ne répond pas à la souffrance en envoyant des CRS », a-t-il affirmé dans un élan de lucidité. Refusant de condamner les violences, le ministre a assumé de laisser faire « à la demande du président et du Premier ministre ». « Les agriculteurs travaillent (...), ce sont des patriotes », a-t-il ajouté. « S’ils respectent les règles de la République, il n’y a aucune raison de faire intervenir les policiers et les gendarmes. »
Cette stratégie du maintien de l’ordre et l’impunité dont jouissent la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles) et la Coordination rurale interroge. La tolérance soudaine du pouvoir tranche avec la brutalité avec laquelle le gouvernement a réprimé ces dernières années les Gilets jaunes, les syndicalistes opposés à la réforme des retraites ainsi que les quartiers populaires. Elle contraste aussi avec ses diatribes contre les « écoterroristes ».
Routes bloquées, arbres abattus
...
Destruction de bâtiments publics
Certains vont encore plus loin en *détruisant des bâtiments publics. À Carcassonne, le bâtiment de la Dreal (Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement) a été soufflé par une explosion, revendiquée par le Comité d’action viticole. À Narbonne, un bâtiment de la Mutualité sociale agricole a été incendié.
Les responsables de ces actes vont-ils être poursuivis en justice comme d’autres paysans en colère, à l’instar de Daniel, membre de la Confédération paysanne du Tarn ? En mai 2023, il a été condamné à quatre mois de prison avec sursis pour avoir alimenté un simple feu de bois devant le portail de la préfecture d’Albi en mars 2023 à l’occasion d’une manifestation contre la loi sur les retraites. « J’ai été interpellé à 6 heures du matin à mon domicile, menotté devant les enfants et mis en garde à vue trente-neuf heures. C’est déjà une sanction alors que je n’avais pas encore été jugé. Pourquoi être ainsi humilié ? »
Daniel est loin d’être le seul paysan à subir les foudres de la justice à cause de son militantisme. Le 17 janvier dernier, de lourdes peines ont été prononcées à l’encontre d’activistes antibassines, incluant des syndicalistes de la Confédération paysanne. « Quand nous allons défendre un bien commun en marchant dans des champs avec des familles, on se retrouve réprimés dans la violence et on finit au tribunal », déplore Amandine Pacault, porte-parole de la Confédération paysanne des Deux-Sèvres.
...
Même quand l’action reste symbolique, la sanction est sévère. Le 6 novembre dernier, sept activistes de Greenpeace ont été interpellés, placés en garde à vue durant quarante-huit heures. Leur tort : avoir accroché une banderole sur la façade du ministère de l’Écologie pour dénoncer la « trahison écologique » du gouvernement.
« C’est quand même étonnant de voir que, dans notre pays, quand on défend l’intérêt général, on est immédiatement sanctionné et quand on défend des intérêts corporatistes – qui sont légitimes aujourd’hui – on n’a pas les mêmes réponses que la FNSEA », a déclaré Yannick Jadot, sénateur écologiste. « On aimerait bénéficier de la même indulgence et pouvoir exprimer notre colère sans se prendre des coups de matraque, sans être gazés et sans finir en procès », dit Youlie Yamamoto, porte-parole d’Attac.
...
Les convois de tracteurs ont pu se frayer un chemin jusqu’aux préfectures et aux bâtiments de l’administration au cœur des centres-villes sans rencontrer de difficulté, et sous le regard amorphe des forces de l’ordre. Parfois, elles escortaient même le cortège et les conduisaient droit sur leur cible, comme à Agen.
Dans ses consignes aux préfets, Gérald Darmanin appelait à « une grande modération des forces de l’ordre ». « C’est en dernier recours que les effectifs de maintien de l’ordre déployés aux abords de bâtiments publics seront autorisés à intervenir, et dans le seul cas où l’intégrité des personnes serait menacée ou les bâtiments exposés à de graves dégradations. »
...
Pour le sociologue Bertrand Hervieu, spécialiste des mondes agricoles, cette indulgence s’explique par « les grands rapports de proximité entre les responsables agricoles et les autorités, les maires et les préfets », dit-il à France info. « C’est l’inverse des Gilets jaunes, qui n’avaient pas de leaders. Il y a peu de professions qui ont une relation quasi quotidienne avec le gouvernement, d’abord avec le ministre de l’Agriculture, mais aussi avec le Premier ministre. Il y a donc une proximité avec l’État ». Une collusion dénoncée par Julien Le Guet, le porte-parole de Bassines non merci : « Il y a des représentants de la FNSEA qui vont à la préfecture pour organiser les actions
...
ils arrivent à être escortés sur certains lieux. Si ce n’était pas validé, il y aurait des interventions des forces de l’ordre ».
...
Le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, est à la tête d’une grosse exploitation de céréales et président du groupe agroalimentaire international Avril. © AFP / Arnaud Finistre
...
Cela fait près de soixante ans que la FNSEA multiplie les destructions de biens publics, blocages, opérations coups de poing, menaces contre des militants écologistes et des élus comme l’ont rappelé les journalistes de Basta. Cela lui a permis d’imposer une agriculture qui supprime des paysans, détruit les sols et la biodiversité.
Portrait — Agriculture : Arnaud Rousseau, « pompier pyromane » à la tête de la FNSEA
Connu / TG le 28/01/24 à 10:30
On parle de violences conjugales. On parle de délits, de crimes. Et le Rassemblement national propose quoi ? Que les femmes frappées se tournent vers un médiateur social parce que... "la police n'est pas là pour régler les problèmes de voisinages" !
Hier soir, Emmanuel Macron est revenu sur la cérémonie de Hanoukka qui s’est tenue en sa présence à l’Élysée début décembre.
Clés : Politique Vie citoyenne
Tr.: ... modestie ... principes ...
Il défend le recours au nucléaire pour sauver le climat. « À l’air libre » reçoit Jean-Marc Jancovici, très médiatique expert du climat et de l’énergie.
© Mediapart
LaLa COP28 de Dubaï se termine. Au cœur de ce sommet organisé sous l’égide de l’ONU, la question des énergies fossiles et de la façon de les remplacer. L’énergie nucléaire pourrait-elle faire partie de la solution ? Ou est-ce au contraire une fausse piste trop dangereuse ?
Mathieu Magnaudeix et Jade Lindgaard reçoivent Jean-Marc Jancovici, cofondateur du cabinet de conseil Carbone 4, professeur associé à Mines ParisTech, fondateur et président du Shift Project.
...
Ndlr : JMJ élude de nombreux sujets gênants pour lui au prétexte qu'il n'a pas consulté les références. Quel crédit accorder à sa thèse que le déploiement des ENR va être aussi long que le NUK ? ACT
Connue / https://mastodon.top/@FanchTheSystem@framapiaf.org/111539250061366508
"
Jean Gautier a partagé 5 h FanchTheSystem@framapiaf.org Neoresistant@mamot.fr Fanch The System @FanchTheSystem@framapiaf.org
@Neoresistant y'a un peertube si tu veux : https://canard.tube/w/vLeatdCo9Pk7Ukc3n41wDc
"
vidéo Marc Levy, invité de la Matinale de France Inter le mardi 14 novembre 2023 ©Radio France - Grégoire Nicolet
L'écrivain Marc Levy publie "La Symphonie des monstres" (Robert Laffont) dans lequel il raconte les rapts d’enfants ukrainiens depuis le début de la guerre engagée par la Russie, "preuve absolue d'une volonté génocidaire", selon lui.
Il a vendu 50 millions de livres. Son 25e roman, “La symphonie des monstres” (Robert Laffont) est une fiction, nourrie par des enquêtes de presse sur les crimes commis par les Russes en Ukraine et notamment l’organisation d’un programme de kidnapping et de déportation systémique des enfants, théorisé par Maria Lvova-Belova, commissaire russe aux droits de l’enfant, qui aurait déjà concerné plus de 40.000 enfants. “Ce sont des dizaines de milliers d'enfants qui sont kidnappés et qui sont envoyés dans ces camps de rééducation où on leur réécrit leur histoire, on leur fait croire que leurs parents les ont abandonnés ou que leurs parents sont morts, quand ce n'est pas le cas”, raconte le romancier.
“Mettre en place un programme de déportation systématique d'enfants, c'est la preuve absolue d'une volonté génocidaire”, estime Marc Levy. “Quand un pays met en place un programme qui consiste à déporter - parce que dans les propos de Maria Lova Belova, elle revendique en kidnapper 700.000”, l’objectif est selon lui que “l'Ukraine n'ait pas de futur, parce qu'il n'y a plus d'enfants”.
“C'est une terreur pour tous les parents” , rapporte-t-il encore. “Les kidnappings se font dans les pouponnières, dans les maternelles, dans les écoles communales. Ils sont organisés par l'armée, notamment, et par les milices comme Wagner” , explique-t-il, évoquant “un programme pour les bébés, un programme pour les enfants, un programme pour les adolescents” . Ces derniers sont habillés d’uniformes “avec des écussons russes sur le côté” et “les enfants les plus en âge de devenir des adultes, c'est-à-dire ceux qui ont 16-17 ans, sont immédiatement placés dans des écoles militaires pour devenir des futurs soldats du régime” .
Le roman sera publié “gratuitement en ligne, en traduction russe” dès qu’elle sera achevée, “je l’espère avant la fin de l’année”, précise Marc Levy. “Un éditeur de La Résistance va le distribuer en version papier” et “je me rendrai très bientôt à Kiev pour la sortie du roman en ukrainien”.
L'équipe Marion L'Hour, Production
Océans
Greenpeace France dénonce le choix du Premier ministre norvégien, Jonas Gahr Støre, en visite à Paris à l’occasion du One Planet – Polar Summit, d’ouvrir les fonds marins de l’Arctique norvégien à l’exploitation minière. Si ce projet devait être confirmé par le Parlement norvégien en janvier 2024, il ajouterait de nouvelles pressions sur un écosystème déjà fragilisé et pourtant vital pour réguler le climat et faire circuler les courants marins.
Des militantes et militants de Greenpeace se sont mobilisé·es de mercredi à vendredi dans 17 villes françaises pour appeler Jonas Gahr Støre à renoncer à l’exploitation minière des grands fonds de l’Arctique. A Paris, un poulpe de 8 mètres de haut a été déployé sur le Champ de Mars. A Brest, Rouen, Lyon, Versailles, Lille, Chambéry, Annecy, Bordeaux, Nantes, Montpellier, Marseille, Dijon, Angers, Strasbourg, de grandes bannières avec les messages “Abysses : massacre imminent” et “Norway, Stop Deep Sea Mining” ont été déployées.
...
« Envoyer des machines gigantesques pour racler les fonds de l’océan Arctique et y récupérer des métaux serait criminel. La Norvège reste sourde aux alertes des scientifiques sur les dommages irréversibles que pourrait causer l’exploitation minière en eaux profondes à des habitats uniques et des espèces méconnues et vulnérables », s’indigne François Chartier, chargé de campagne Océans à Greenpeace France.
Le démarrage de l’exploitation minière dans les grands fonds norvégiens pourrait établir un dangereux précédent, alors que de plus en plus d’Etats s’engagent contre cette industrie au niveau international. Ainsi, la dernière session de négociations de l’Autorité Internationale des Fonds Marins, qui s’est conclue mercredi à Kingston, en Jamaïque, a vu le Royaume-Uni rejoindre la coalition de 23 pays qui s’opposent à l’exploitation minière en eaux profondes.
...
« La France doit jouer à plein le rôle qu’elle a endossé de défenseuse des grands fonds en menant un dialogue exigeant avec la Norvège » ...
Connu / https://mastodon.top/@Mediapart@mastodon.social/111296567305356857
"
1 h Mediapart @Mediapart@mastodon.social
La chercheuse Héloïse Fayet revient sur la proposition d’#EmmanuelMacron de bâtir une coalition internationale contre le #Hamas, à l’instar de celle qui combat les djihadistes de l’organisation État islamique. Elle en pointe l’imprécision et le manque de pertinence stratégique.
À Hébron, le 22 octobre 2023, un palestinien brandit un drapeau du Hamas lors d'un rassemblement contre les frappes militaires israéliennes sur la bande de Gaza. © Photo Hazem Bader / AFP
"